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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 18:39

IV

Pardonne-moi de n'avoir pas su t'aimer,

Mais sâche que ce mal, je l'ai assez payé,

Car nos amours échoués pour toi sont oubliés,

Alors qu'en moi, ils continuent de me ronger.

 

Je t'aime encore tu sais, de loin, dans le secret,

Et je ne peux plus, ni te voir, ni te parler,

Il ne me reste plus que l'espoir désespéré,

Qu'un jour entre l'aurore et l'aube à la rosée,

Je viendrais jusqu'à toi éclairer ta beauté,

Et qu'ensemble on cueille les fleurs illuminées,

Par tout cet amour que l'on saura se donner...

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 18:32

III

Au fil d'octobre, les frais matins palissaient.

En l'air, les feuilles sur les arbres rougissaient,

Et dans ce balai des teintes de la nature,

Se jouaient en dansant celles de ta chevelure,

Marbrée comme le tapis jonchant les forêts,

Miroir brun que ton ancien regard arborait.

Malgré l'automne avanncé, le ciel demeurait

Finement bleuté mais de nuages sculptés,

Comme ce que tes nouveaux yeux m'ont dévoilé.

 

Mais triste aujourd'hui du malheur du temps qui passe,

Pris dans la dans des regrets que rien ne lasse,

Même loin de toi, je me réjouis chaque fois,

Dès que cette dans se rejoue devant moi...

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 18:25

Je le sais aujourd'hui, j'étais mauvais amant,

Si prétentieux sur lui, se croyant différent,

Qu'il n'a jamais compris, ce pourquoi si souvent,

Tu t'éloignais de lui, juste en le repousant.

 

Moi, ton amant de chaire, je me vivais vraiment,

Comme un grand sur sa chair, mais j'étais seulement,

De celui qui opère, à tâcher tes draps blanc,

En payant si peu cher, que j'étais leur semblant.

 

Il m'a fallut du temps, mais je sais aujourd'hui,

Que l'amour en ce temps, n'téais pas dans le lit,

Où j'étais simplement un de ces malappris.

 

Il m'a fallut du temps, mais je sais aujourd'hui,

Que l'amour en ce temps, se cachait par ici,

Où nos mains se joignant, rendait belle la nuit...

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 18:17

Si seulement j'avais su, alors je n'aurais

Pas toutes ces nuits là, fait l'amour avec toi;

Nos corps mélangés de passion et de suées,

Si proches, et pourtant, je m'éloignais de toi.

 

Je me voulais être un amant si différent,

Que je voyais amour, là où était désir,

Et mon corps dans ton corps, j'étais un prétendant

Prétentieux de ne jamais te faire souffrir.

 

Sont venus les adieux, de pleurs, enluminés,

Sont venus les aveux tant de fois regrettés,

L'amour passe son chemin, et tu fuis loin de moi.

 

Si seulement j'avais su, alors je n'aurais

Pas toutes ces nuits là, fait l'amour avec toi,

J'aurais pris ta main pour m'endormir près de toi...

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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 14:50

Je disparais à la brisure de tes yeux,

Je ne suis plus dans l'ombre de ton regard,

Qui, de ses cercles obscurs,

Se faisaient mon miroir.


Je me déchire à la bise de ton souffle,

Je ne suis plus mes lèvres sur ta bouche,

Qui, de son vent léger,

Savait bercer mon âme...


Tout de moi, en toi, a disparu,

Effacé par le temps de ses flots langoureux,

Lents, absurdes mais tenaces,


Tu es vidé de moi, je suis vidé de toi,

Il n'y a plus de joie, plus de souffrance,

Juste une absence, que rien ne lasse...

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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 11:03
Et si tout s'arrêtait là, ici,
Mon corps froid dans son lit chaud.
Mon âme enfin en paix,
Légère de ses peines et de ses alarmes,
De ses secrets que rien ne désarme...
Mon coeur au repos, n'ayant plus à
battre ni pour elle, ni pour toi.
Et si tout s'arrêtait là,
Mon coeur froid dans son lit chaud,
Ce serait égoïste, mais ce serait beau.
Et si tout s'arrêtait là, ici,
Maintenant, mon âme en paix...
Mon âme en paix mais sous tes pleurs,
Une paix trop lourde à porter...
Alors de paix je n'ai pas de choix,
Je ne me bats que pour toi,
Je me bats à cause de toi...
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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 10:54
Tu m'es étrangère,
et parfaitement connue...
Je sais les traits de ton corps qui se dessinent sur tes draps,
Je sais ta petite main fine et délicate caressant ton chat,
Je sais ta peau douce qui s'aime être caressée, parfois même embrassée,
Je sais ton rire qui t'échappe sans que tu n'aies pu le retenir,
Je sais ton parfum que tu sèmes derrière toi comme une trace, comme un aveu de ton passage,
dans mon lit ou le tien ou bien même un ascenseur...
Je sais que par tous ces petits riens tu es une grande âme a qui mon coeur a du céder beaucoup de place.
Je sais que tu es absente, tu me manques mais ce manque m'apaise, me soulage et pourtant me transperce...
Je sais que tu es absente, tu vis autre chose que moi et j'en meurt de toi, mais c'est la plus belle chose pour toi...
Alors échappe-toi, échappe-moi encore et encore...je sais que je te saurais toujours comme je te sais, comme je t'ai sue quand je t'ai perdue
...
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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 16:59
tu es comme une étoile tu brilles sur le voile bleuté de notre voie lactée tu illumines les yeux animes les regards, habites les songes éclaires les cieux, tu brilles, tu brilles de mille feux
je suis comme une étoile, le monde me regarde, mais il est trop tard, toujours trop tard...je suis déjà mort
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31 décembre 2009 4 31 /12 /décembre /2009 16:53
Tu me manques de ton essence,
Rendue absente de mes sens,
Comme tu me manques où je suis,
Dans le brouillard et le folie...

Tu me manques comme mes mains,
Du monde je ne palpe rien,
Comme tu me manques où je suis,
Seul et égaré dans la nuit...

Tu me manques comme de toi,
Comme aux creux de ma main tes doigts,
Qui tremble du vide de toi...

Tu me manques comme je t'aime,
Ton nom, ton parfum qui se sème,
Ton rire éclatant de bohème...

Tu me manques tant que j'en t'aime...
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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 23:31
Il y a tous ces secrets qui ne sont pas les miens,
Déposés entre les larmes, entre mes mains,
Tant de blessures que je suis seul à porter,
Pour alléger les âmes, les coeurs déchirés...

Tel est mon chemin, ma croisade, mon combat,
Sécher les pleurs, prendre une main ou dans mes bras,
J'écoute les esprits et les âmes blessés,
C'est moi, je cueille des larmes et des secrets...
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