13 mai 2008
2
13
/05
/mai
/2008
07:54
J'ai un genou à terre et le coeur abattu,
Je n'ai plus rien à faire, et d'envie je n'ai plus,
Que celle de l'hiver, pour mettre par-dessus,
Moi et cette misère un grand plaide en tissu...
Je ne pleurs même pas, je suis juste égaré,
Et chacun de mes pas, las se laisse guidé,
Par ce nom qui n'est là que d'un ton étranger,
Et vient se mettre à bas d'être ainsi évoqué...
Ce nom ainsi vidé n'est que plus grande peine,
N'étant qu'un "évoqué" du seul nom de ma haine,
Qui n'est que le reflet des coups que je m'assène...
Ma haine c'est ton nom qui m'a bien trop trahit,
Ma peine c'est ton nom qui m'a bien trop sourit,
Mais déjà je sens mon coeur qui s'évanouit...
Je n'ai plus rien à faire, et d'envie je n'ai plus,
Que celle de l'hiver, pour mettre par-dessus,
Moi et cette misère un grand plaide en tissu...
Je ne pleurs même pas, je suis juste égaré,
Et chacun de mes pas, las se laisse guidé,
Par ce nom qui n'est là que d'un ton étranger,
Et vient se mettre à bas d'être ainsi évoqué...
Ce nom ainsi vidé n'est que plus grande peine,
N'étant qu'un "évoqué" du seul nom de ma haine,
Qui n'est que le reflet des coups que je m'assène...
Ma haine c'est ton nom qui m'a bien trop trahit,
Ma peine c'est ton nom qui m'a bien trop sourit,
Mais déjà je sens mon coeur qui s'évanouit...
A Cécile